À propos : qu’est-ce que 37°C ?
37°C est réalisé par Gaëlle Burcklé dans le cadre d’un master en design textile à l’ENSCI-les Ateliers (École Nationale Supérieure de Création Industrielle) à Paris, entre Janvier et Juin 2021, dirigé par Giovanna Massoni.
Ce projet naît suite à la découverte d’une vidéo Kombini, où Maxime Labrit, créateur de l’andro-switch, explique la contraception thermique par remontée testiculaire : cette méthode méconnue réunit des questions autour de la santé, du genre, et du design.
La contraception masculine thermique est connue depuis l’antiquité, mais l’histoire militante prend forme en France dans les années 1970, avec l’association ARDECOM (Association pour la Recherche et le Développement de la Contraception Masculine). Des hommes issus de contextes féministes se réunissent afin d’explorer sur leur propre corps, des manières d’être eux aussi contraceptés. Le Dr. Roger Mieusset les rejoint et réalise des études médicales sur la contraception thermique par remontée testiculaire.
C’est l’initiative d’hommes, un besoin de société qui a induit la recherche institutionnelle médicale.
Au travers de 37°C, Gaëlle Burcklé rencontre les acteurs (GARCON, Maxime Labrit, Thomas Boulou), et les utilisateurs de la contraception thermique par remontée testiculaire, et s’appuie sur ses échanges pour créer des dispositifs textiles adaptés. Entre maintien et souplesse, élasticité et confort, travail esthétique et médical, elle crée des anneaux et des boxers qui permettent de remonter les testicules en position inguinale. Les matières développées sont en maille de coton, mélangée à du Lycra, sertie de silicone pour l’anneau.
37°C, c’est aussi des collaborations.
Marie Jouble donne vie au projet grâce à ses illustrations et sa capacité à vulgariser l’univers scientifique. Des brochures accompagnent le projet, ainsi qu’un site internet réunissant tou·te·s les personnes, les informations et les études autour de la contraception testiculaire.
Maëlle Petitjean apporte son expertise en développement maille.
Quant à Maxime Labrit, il a permis de valider les prototypes et de conforter le projet.
Entre recherches textile, et enquête sociale, 37°C permet de s’informer sur la contraception par remontée testiculaire, tout en proposant une évolution de forme et de matières des dispositifs existants. Ce projet s’inscrit dans une démarche socio-design.
Ce projet naît suite à la découverte d’une vidéo Kombini, où Maxime Labrit, créateur de l’andro-switch, explique la contraception thermique par remontée testiculaire : cette méthode méconnue réunit des questions autour de la santé, du genre, et du design.
La contraception masculine thermique est connue depuis l’antiquité, mais l’histoire militante prend forme en France dans les années 1970, avec l’association ARDECOM (Association pour la Recherche et le Développement de la Contraception Masculine). Des hommes issus de contextes féministes se réunissent afin d’explorer sur leur propre corps, des manières d’être eux aussi contraceptés. Le Dr. Roger Mieusset les rejoint et réalise des études médicales sur la contraception thermique par remontée testiculaire.
C’est l’initiative d’hommes, un besoin de société qui a induit la recherche institutionnelle médicale.
Au travers de 37°C, Gaëlle Burcklé rencontre les acteurs (GARCON, Maxime Labrit, Thomas Boulou), et les utilisateurs de la contraception thermique par remontée testiculaire, et s’appuie sur ses échanges pour créer des dispositifs textiles adaptés. Entre maintien et souplesse, élasticité et confort, travail esthétique et médical, elle crée des anneaux et des boxers qui permettent de remonter les testicules en position inguinale. Les matières développées sont en maille de coton, mélangée à du Lycra, sertie de silicone pour l’anneau.
37°C, c’est aussi des collaborations.
Marie Jouble donne vie au projet grâce à ses illustrations et sa capacité à vulgariser l’univers scientifique. Des brochures accompagnent le projet, ainsi qu’un site internet réunissant tou·te·s les personnes, les informations et les études autour de la contraception testiculaire.
Maëlle Petitjean apporte son expertise en développement maille.
Quant à Maxime Labrit, il a permis de valider les prototypes et de conforter le projet.
Entre recherches textile, et enquête sociale, 37°C permet de s’informer sur la contraception par remontée testiculaire, tout en proposant une évolution de forme et de matières des dispositifs existants. Ce projet s’inscrit dans une démarche socio-design.